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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 12:43

Madame, Monsieur,

Je me permets de vous faire part du colloque que l’ARAFDES organise les 10 et 11 octobre prochains à Lyon en lien avec l’ADC Rhône-Alpes

et l’ANDESI, et qui a pour ambition de réfléchir à l’exercice des fonctions de cadre et de cadre dirigeant dans le secteur social.

« Direction et démocratie dans le champ social et médico-social : une convergence impossible ? »

Vous trouverez ci-joint la plaquette de présentation du colloque qui vous précise la tonalité de cet évènement et les personnalités

qui y interviendront.

Je vous invite à vous y inscrire et à venir avec nous faire de ces deux jours un temps de respiration et d’échange entre pairs.

Je me permets aussi de vous demander de relayer l’information dans vos propres réseaux professionnels : nous tenons à ce que cet

évènement soit réussi et constitue un moment nourrissant d’approfondissement de nos pratiques d’encadrement et de pensée collective

sur le travail.

Je profite de ce courrier pour vous informer du déménagement de l’ARAFDES qui s’installe cet été dans de nouveaux locaux,

14, rue Berjon à Lyon 9ème.

Dès la rentrée de septembre, nous y accueillerons enseignants, stagiaires en formation et partenaires dans de bien meilleures

conditions de travail.

Soyez assurés de notre souci renouvelé de proximité et recevez, Madame, Monsieur, l’expression de mes bien cordiales salutations.

Bernard LEMAIGNAN

Directeur Général.

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 15:04
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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 15:40

Belle matinée que cette Assemblée générale du CTEDESI ( NDLR :association des directeurs d'établissements du 74), à laquelle nous étions aimablement conviés ;

Ont donc représenté l'ASCESS à cette réunion Antonia PENAS, Pascal CHRISTOPHEL et moi-même.

Le lieu du rendez-vous, probablement inconnu des "Bas-savoyards" était l'établissement PERSY-CAT à Pers-Jussy, un CAT dont les locaux neufs en rase campagne peuvent faire des envieux...

La convivialité étant de mise au CTDESI, nous avons apprécié le temps du café, propice à l'échange et aux contacts, mais nous regretterons malheureusement de ne pouvoir participer au barbecue prévu à 12h30, Pascal étant attendu dans son étabilssement pour 14h ! Cette convivialité ainsi que la forte mobilisation des directeurs fut pour nous une leçon en même temps qu'une bonne surprise.

Le clou de la matinée, après l'Assemblée générale rondement menée, fut très certainement la table-ronde organisée autour des nombreux intervenants présents, dont M Philippe FERRARI, Directeur de l'ARS et une dizaine d' acteurs et responsables de l'Hopital, de la gérontologie et de la Protection de l'enfance (Madame LEVEQUE étant malheureusement excusée) ; le thème se prêtait en effet à un débat intéressant puisqu'il s'agissait  d'évoquer la question de la psychiâtrie, et les difficultés dans l'accompagnement des personnes en fragilité psychiques, appelées parfois situations complexes.

La situation de la Haute Savoie se révèle bien différente de la nôtre, sur ce plan comme sur d'autres, et la comparaison est riche en informations ; en 74 la prise en charge des fragiltés psychique se répartit sur l'Hopital, apparemment sous-doté sur ce plan, le secteur privé associatif, et le privé lucratif, alors que la Savoie se recentre sur un opérateur unique, en l'occurence le CHS. Sont donc intérrogés dans ce débat la question du lien entre les interventions et la coordination des parcours de soin.

Belle participation de la salle également,  dont les questions et les remarques ont animé l'échange.

Et on se prend à réver ...de faire aussi bien !

 

Gaby TARDY

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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 14:17

Découvrez, ci-dessous, les prochaines actions de Formation Continue en 2013 organisées par les 4 établissements de l'IREIS, sur votre secteur, en Rhône-Alpes :

Pour découvrir toute l'offre de formation continue 2013 de l'IREIS, et vous inscrire,
Rendez-vous sur notre site Internet IREIS
Pour toute information complémentaire, vous pouvez joindre Mme Odette Pascal,
par mail formationcontinue.dg@ireis.org ou par tél. au 04 78 65 15 70

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 12:23

                                                                                                  Je suis "overbooké" ! Comment vais-je trouver le temps de poster un  commentaire sur le blog de l'ASCESS !!!!    

 

 

travail

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 12:15

Une étude de la Dares fait le point sur l'évolution au cours de la dernière décennie des dépenses sociales des départements en direction des personnes âgées. Celles-ci ont quasiment triplé entre 2001 et 2010, en raison de la création de l'allocation personnalisée d'autonomie. Entre départements, les disparités dans la dépense sociale ont eu tendance à se réduire.

envol-oiseaux462.jpg

Pour se persuader, si cela est encore nécessaire, que les départements sont les pivots de l'action sociale de proximité, il suffit d'aligner quelques chiffres. "Entre 2001 et 2010, le nombre de mesures d'aide aux personnes âgées versées par les départements est passé de 368 000 à 1 351 000 environ, soit un rapport de 1 à 3,7", chiffre le document de la Drees. Pour la seule année 2002 où se met en place l'allocation personnalisée d'autonomie (APA), le nombre de mesures a augmenté de près des deux tiers.

Une personne sur quatre de plus de 75 ans aidée

Ce bond en avant se traduit par la poussée du taux de couverture dans le public des personnes âgées. Chez les plus de 60 ans, l'aide sociale, qui concernait en 2001 3 % de cette population, en atteint désormais plus de 9 %. La progression est encore plus spectaculaire chez les plus de 75 ans :  un sur douze en 2001, presqu'un sur quatre en 2010. La création de l'APA qui concerne désormais les personnes moyennement dépendantes (GIR 4) a permis de rééquilibrer l'aide entre établissement et domicile. C'est désormais ce dernier qui représente une majorité de mesures d'aide sociale. Au cours de cette décennie, la dépense moyenne par personne âgée aidée a faiblement augmenté, passant de 4 985 euros à 5 102 euros.

Evolutions contrastées APA domicile et établissement

Sur le 1,351 million de mesures d'aides sociales, l'APA se taille la part du lion : cette allocation est versée à 1,16 million de personnes. Le GIR 4 qui, à la différence de la prestation spécifique dépendance (PSD) antérieure, peut donner droit à l'APA, concerne à lui seul la moitié des personnes éligibles à l'allocation à domicile, un quart de celles en établissement. 
Le document note également des évolutions contrastées de l'APA domicile et de l'APA établissement. La première diminue constamment alors que la seconde augmente entre 2005 et 2010 à un rythme annuel compris entre 2 et 3 %. 

L'aide ménagère se réduit, l'ASH se stabilise

Si les bénéficiaires de l'APA ont connu une forte augmentation, le nombre de mesures d'aide ménagère a été divisé par deux. Elles ne  concernent plus que 31 000 personnes, en raison, explique la Drees, de "l'élévation du niveau de vie des personnes âgées". Cela est effectivement corrélé avec la diminution du nombre de bénéficiaires du minimum vieillesse. L'aide sociale à l'hébergement (ASH) est, de son côté, restée stable avec moins de 120 000 mesures en 2010. Pour autant, la dépense moyenne pour l'ASH a augmenté, passant de 7 500 euros en 2001 à 9 600 euros en 2010. Enfin, l'accueil familial reste très marginal, même s'il a connu un quasi-doublement sur 10 ans (2 400 personnes hébergées en 2010).

Les effets du vieillissement...

En termes de répartition spatiale, la Drees observe un rééquilibrage. "Les départements qui étaient les plus dépensiers en 2002 ont connu en euros constants une évolution négative relativement marquée jusqu'en 2009, alors que les moins dépensiers au départ ont à l'inverse connu une croissance de leurs dépenses." Les départements franciliens, le Nord, le Rhône ainsi que la Corrèze et la Corse-du-Sud restent cependant en tête du classement. 
Quels sont les facteurs qui déterminent dans un département le niveau des dépenses sociales ? La Drees met en avant deux facteurs essentiels. Evidemment, la structure de la population avec sa proportion de gens très âgés a un effet direct. "Un point supplémentaire de la part des personnes âgées de plus de 75 ans dans la population entraîne 10 % de dépenses par habitant supplémentaire", peut-on lire.

... et les effets du niveau de revenu

Cette dépense est également affectée par le niveau de revenu de la population. Et ce de deux manières. Plus les personnes âgées dépendantes sont pauvres, moins leur participation financière est importante et donc plus la contribution de la collectivité est forte. D'autre part, le niveau de revenu de la population globale influe sur le niveau des recettes qui peuvent financer l'action sociale. En effet, les départements perçoivent une partie des taxes d'habitation et foncière, sans oublier les droits de mutation. Ce n'est pas le moindre des paradoxes d'une République des territoires qui, par-delà les proclamations égalitaires, laisse se développer de formidables disparités en termes de ressources...  

 

Par Noël Bouttier    in TSA (26/5/2013)

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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 08:14
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21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 08:04

Décidément, la procédure des appels à projets introduite par la loi HPST a bien du mal à être acceptée par les opérateurs de terrain. Après une réflexion interne, l'Uriopss des Pays-de-la-Loire vient d'interpeller l'ensemble des financeurs sur ses conséquences, notamment la concurrence exacerbée entre associations et la difficulté à prendre en compte les innovations sociales.

La région Pays-de-la-Loire est en quelque sorte pionnière. Elle a été la première, début 2011, à lancer la procédure des appels à projets prévue par la loi HPST de 2009. Deux ans après, l'Uriopss Pays de la Loire dresse un premier constat de l'impact de ce dispositif sur le fonctionnement des associations du champ social et médico-social. « Lors de la discussion de ce projet de loi, rappelle Anne Postic, directrice de l'Uriopss, notre réseau avait émis un certain nombre de critiques. Il nous fallait vérifier à travers la trentaine d'appels à projets déjà lancés, si ce qu'on pressentait se traduisait dans les faits. » Conclusion : l'union régionale se sent (malheureusement) confortée dans ses pronostics plutôt sombres.

Injonction paradoxale

Pour sensibiliser l'ensemble des financeurs aux problèmes rencontrés, l'Uriopss leur a envoyé début avril un long courrier dans lequel elle énonce divers problèmes rencontrés qui nuisent à la pertinence et à l'efficacité du travail de terrain, ainsi que quelques propositions.
Premier constat : l'accentuation de la concurrence entre associations qui « peut amener à la disparition d'acteurs sur un territoire ». « Cela a parfois une conséquence directe, explique Anne Postic. Certaines directions recommandent aux équipes de ne pas échanger avec d'autres pour éviter les fuites au moment où les associations se positionnent par rapport au cahier des charges. Et paradoxalement, les acteurs invitent les professionnels à décloisonner leur travail. »

450 heures de travail

D'autre part, l'émergence de cette procédure intervient à un moment où de nombreuses associations sont confrontées à la rigueur budgétaire. Elles ont donc tendance à se positionner sur l'ensemble des appels à projets ouverts, sans pour autant avoir toujours les moyens humains pour y répondre correctement. En fonction des informations fournies par ses adhérents, l'Uriopss estime à 450 heures le temps nécessaire cumulé pour répondre à un appel à projets. « Il faut consulter les institutions représentatives du personnel, mobiliser les administrateurs, souvent élaborer un projet de coopération avec d'autres structures, sans oublier de préparer les équipes à ces projets », énumère la directrice de l'Uriopss. Pas étonnant que, dans ces conditions, certaines associations décident de renoncer à présenter leur candidature, faute de temps, alors qu'elles auraient de sérieux atouts à faire valoir. Les délais de réponse sont jugés trop courts (2 mois et demi en moyenne), ce qui contribue à désorganiser les structures qui doivent mettre en veilleuse certaines initiatives pour se conformer à la procédure.

Appels à projets innovants négligés

L'Uriopss regrette également que la procédure des appels à projets dits innovants soit très peu utilisée (en deux ans, une seule fois en région dans le champ du handicap). La capacité d'innovation propre au champ associatif est ainsi limitée, ce qu'a déploré le rapport Igas/CNSA dans son premier bilan des appels à projets. L'Uriopss souhaite que le décret du 26 juillet 2010 sur les appels à projet innovants ou expérimentaux soit pleinement mis en œuvre.
Enfin, elle s'interroge sur l'articulation entre la planification et l'appel à projets. La première suppose une expression large des besoins, la confrontation des idées alors que la seconde joue la carte de la compétitivité et de la culture du secret. « Comment l'appel à projets peut organiser une réponse à un besoin émergent non pris en compte par la planification ? », interroge le courrier de l'Uriopss.
De façon plus accessoire, il est également souligné que les procédures sont encore mal maîtrisées par les pouvoirs publics. Les frontières entre appels à projet, appels d'offres et appels à candidatures ne sont pas très nettes ; les informations relatives aux modalités pratiques de mise en œuvre restent souvent parcellaires ; les commissions de sélection ont des fonctionnements parfois erratiques…

L'ARS aux abonnés absents

Ce courrier a déjà suscité des réactions des autorités. Dans une lettre, le préfet de région a estimé que « cette procédure d'appel à projets n'est pas l'unique modalité régissant les rapports entre l'Etat et les associations ». Une façon d'admettre qu'il fallait desserrer l'étau des appels à projets ?
Des rendez-vous sont en cours avec la direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale et deux conseils généraux pour discuter de ce dossier. De façon surprenante, l'ARS, pourtant très concernée (elle a lancé au moins la moitié des appels à projets), a fait savoir qu'elle ne répondrait pas officiellement à ce cahier de doléances. Circulez, y'a rien à discuter !

 

Par Noël Bouttier in TSA

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 13:09

24/05/2012

Plénière ; thème: Emploi, intérim, remplacements , quelles sont nos pratiques ?

au Foyer de l'enfance -Chambéry

14/06/2012

Assemblée générale 2013

à l'Accueil Savoyard - StAlban Leysse

 

 

NB   Bien noter le changement de date du 24/5/2013 au lieu du 17

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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 09:06

 

Les motivations de départ à la retraite: stabilité entre 2010 et 2012


Interrogés en 2012 sur leurs motivations de départ, la majorité des nouveaux retraités

qui ont liquidé une pension au régime général entre le 1er juillet 2010 et le 30

juin 2011 sont partis dès que possible, en général dès l’atteinte d’une pension à taux plein, afin de

profiter le plus longtemps possible de la retraite.

Leurs motivations ne diffèrent pas sensiblement de celles des retraités partis deux ans

plus tôt. En 2012, plus de 80% des assurés ont le sentiment d’avoir été bien informés sur leurs

droits au moment de leur départ à la retraite, même si certains dispositifs, tels que la

décote ou la surcote, restent encore mal connus

 

http://www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er838-2.pdf

http://www.drees.sante.gouv.fr/IMG/pdf/er838-2.pdf

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